Gestion du personnel

Début 2025, le gouvernement a annoncé une série de mesures visant à moderniser et à rendre le marché du travail plus flexible. Dans cet article, nous présentons quelques-unes des mesures envisagées concernant la durée du travail.

Dans l’accord d’été de juillet 2025, le gouvernement fédéral a annoncé d’importantes réformes du droit du travail. L’une d’entre elles concerne l’adaptation des délais de préavis en cas de licenciement par l’employeur, applicable aux contrats de travail conclus à partir du 1er janvier 2026.

À partir du 1er janvier 2026, les employeurs qui proposent des voitures de société seront tenus d'offrir également un budget mobilité. Bien que le cadre juridique ne soit pas encore tout à fait défini, il est judicieux de revoir votre politique de mobilité dès à présent.

À partir du 1er janvier 2026, la valeur maximale des chèques-repas passera de 8 € à 10 € par jour presté. Cette mesure s'inscrit dans le cadre d'un plan fédéral plus large visant à renforcer le pouvoir d'achat. Mais quelles sont les conséquences concrètes pour les employeurs ?

À partir de juin 2026, les États membres de l’UE devront transposer la directive sur la transparence des rémunérations dans leur législation nationale. Pour les employeurs, cela implique de nouvelles obligations, mais aussi une opportunité de moderniser leur politique salariale.

Les employeurs pourront continuer à recourir aux heures supplémentaires de relance au second semestre 2025. Cette mesure offre aux employeurs la possibilité de rémunérer leurs salariés pour des heures supplémentaires volontaires, sans charges sociales ni impôts supplémentaires.

Depuis le 18 mars 2025, un accord fiscal permettait de taxer les fonctionnaires dans le pays de leur employeur. Mais la France a mis fin unilatéralement à cet accord. Que cela implique-t-il pour vous ou vos collaborateurs ?

Le 30 juillet 2025, l’administration fiscale a publié la circulaire relative à l’exonération de versement du précompte professionnel pour le travail en équipes. Celle-ci précise l’application du régime bis et introduit une tolérance administrative.

En France, en tant qu’employeur, vous pouvez renforcer le pouvoir d’achat de vos salariés grâce à la Prime de Partage de la Valeur (PPV), autrefois plus connue sous le nom de prime Macron. Cette prime est, sous certaines conditions, exonérée de cotisations sociales et d’impôts.

Les prochaines semaines marquent deux échéances importantes si vous avez du personnel en France. Ces dates ont un impact non seulement sur la planification des congés, mais aussi sur le traitement des salaires. Voici ce que vous devez savoir – et faire – pour éviter toute surprise.

Les prestataires internationaux de services Employer of Record (EoR) peuvent désormais fonctionner légalement en Belgique, à condition de disposer d'un agrément d’agence de travail intérimaire. Leurs services se trouvaient auparavant dans une zone juridique grise.

Un bonus salarial vous permet de récompenser vos salariés par un avantage non-récurrent lié aux résultats. Un plan de bonus salariaux approuvé est avantageux à la fois socialement et fiscalement, mais il est soumis à des conditions strictes.

Depuis le 1er janvier 2020, il est obligatoire pour toutes les entreprises qui emploient au moins 11 salariés sur une période de 12 mois consécutifs d'avoir une représentation des salariés au sein de l'entreprise ou au moins d'organiser des élections.

Juste au moment où les employeurs pensent avoir maîtrisé les nouvelles règles, un accord de coalition arrive avec son cortège de changements pour les mois suivants. L’efficacité de l’administration du personnel prend alors toute son importance.

Chaque année, en juin et juillet, les employés de la Commission Paritaire 200 et les ouvriers des Commissions Paritaires 149.04, 112 et 127 reçoivent un bonus sous forme d'éco-chèques. Le mois de paiement est fixé par la loi.

Les salariés ont droit à des jours et à un pécule de vacances. Mais comment ce pécule est-il calculé exactement ? Et qu'en est-il du pécule de vacances de départ ? Voici ce que tout employeur doit savoir sur le sujet.

À partir du 1er janvier 2025, les travailleurs passeront définitivement à la carte de contrôle numérique pour le chômage temporaire, ce qui entraînera la disparition définitive de la version papier. Les avantages sont nombreux.

Ce livre introduit de nouvelles règles en matière de responsabilité extracontractuelle, avec des implications importantes pour les auxiliaires tels que les salariés, les administrateurs et les sous-traitants. La loi devrait entrer en vigueur le 1er janvier 2025.

Le 24 avril, une importante modification législative a été introduite en France concernant l’acquisition de jours de congés en cas de maladie. Désormais, les salariés peuvent accumuler des jours de congés partiellement payés (80%) en cas de maladie.

Lorsqu'un jour férié coïncide avec un dimanche ou un jour habituel d'inactivité dans l'entreprise (généralement le samedi), celui-ci doit toujours être remplacé par l'employeur. Cette disposition garantit le droit à 10 jours fériés par an dans l'entreprise.

La loi modifiant le Code pénal social a été publiée en date du 21 juin 2024. Les modifications sont entrées en vigueur le 1er juillet 2024. Un volet important de cette modification de la loi concerne l'introduction de sanctions en cas de non-respect des règles relatives aux horaires flottants.

Depuis le 1er janvier 2024, la législation relative au décompte du pécule simple de vacances a changé. À partir de 2024, le décompte se fait en deux étapes au lieu d'une.

Alors que 2023 était encore une année de transition, cette année, les règles concernant le plan de formation sont plus sérieuses. Si vous employez plus de 20 travailleurs, vous êtes tenu d’élaborer un plan de formation formel pour leur proposer diverses formations.

Que faire si votre employé n'a pas suffisamment de droits à congés mais souhaite tout de même prendre des congés ? Qu'il s'agisse de régimes spéciaux tels que les vacances pour les jeunes et les seniors, de congés sans solde ou de vacances européennes, cet article explore les différentes options qui s'offrent aux employeurs et aux salariés.

Le Deal pour l’emploi stipule que tous les salariés à temps plein bénéficient d'un droit individuel à la formation. Pour bénéficier de ce droit individuel à la formation, les employeurs d'au moins 20 salariés doivent établir un plan de formation.