Pourquoi vous devez maintenir la communication ouverte pour la continuité de votre entreprise
Les bons accords font les bons amis. Voilà une règle d’or en termes d’interaction entre des individus. C’est également une condition indispensable pour lancer, et surtout conserver, une organisation efficace. Dans la pratique, c’est toutefois souvent plus facile à dire qu’à faire.

Évitez les non-dits
Bien que les membres d’une famille, les associés et les professions libérales qui collaborent soient souvent ensemble, maintiennent une bonne entente et discutent facilement des aspects opérationnels ensemble, il s’avère qu’une communication ouverte sur des sujets qui importent vraiment constitue souvent un problème. Les sujets sensibles ou des sujets cruciaux, comme la vision d’avenir propre, la cession, l’association, l’engagement personnel, les attentes mutuelles etc., ne sont souvent pas suffisamment abordés. Les non-dits entraînent toutefois tôt ou tard de l’amertume. Et une approche constructive ou contraignante ne semble alors plus aussi évidente.
Rédigez une charte
Cela vaut dès lors la peine d’anticiper en discutant en toute transparence à l’avance de sujets fondamentaux, qui peuvent entraver la collaboration future et la continuité de l’entreprise à un certain moment. Une charte doit alors en être le reflet. Ce document sert d’une part de fil conducteur auquel se référer, mais constitue d’autre part une donnée dynamique qui évolue avec les phases de la vie de l’entreprise. C’est pourquoi nous recommandons de réexaminer cette charte régulièrement.
De plus en plus d’entrepreneurs et de professions libérales comprennent l’importance d’une bonne collaboration au niveau du management. C’est pourquoi ils se laissent guider par nos soins, en tant que partenaire neutre et spécialisé, pour les discussions préparatoires et la rédaction efficace d’une charte. Vous êtes intéressé(e) ? N’hésitez pas à nous contacter à l’adresse hr.solutions@vdl.be. Nous nous ferons un plaisir de vous expliquer notre approche sans engagement.
Dans nos conseils, nous nous basons sur la législation actuelle, les interprétations et la doctrine. Ce qui n'empêche pas que l'Administration puisse les contester ou que des interprétations existantes puissent changer.
